La Semaine du Roussillon
Le risque était déjà connu. Après les mères, ce sont les pères traités à la Dépakine qui risquent de transmettre des effets négatifs à leur
RMC
Une étude publiée la semaine dernière a révélé qu’outre les femmes, les pères ayant pris de la Dépakine dans les trois mois précédant la conception d’un enfant pouvaientLe Parisien
L’Agence du médicament vient d’informer les médecins du risque potentiel pour les enfants à naître quand le papa est sous traitement. À Sète (Hérault), Yves s’interroge.
Ce sont
Ouest France
La fille de Jean-Marc Laurent, ancien homme de média, a été diagnostiquée multidys. À l’époque de sa conception, il prenait trois cachets de Dépakine par jour.« Dès le début, j’ai
France Info
D’après l’Agence du médicament, il y a un risque potentiel, estimé à 6%, de malformations chez les enfants dont le père a été traité par la Dépakine.