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Recensement des victimes d’embryofoetopathie

Association d'Aide aux Parents d'Enfants souffrant du Syndrome de l'Anti-Convulsivant

Le recensement en France (mise à jour le 24/09/2024)

Cette carte permet de montrer combien, malheureusement nous sommes nombreux.

Elle doit surtout vous aider à trouver des familles concernées près de chez vous, pour permettre d’échanger.

Vos représentants en région et les salariés sont à votre écoute, n’hésitez pas à nous contacter pour obtenir leur coordonnées

  • via le formulaire de contact
  • en appelant le standard au 01 76 54 01 34
Seine-Saint-Denis - 157 victimes
Réunion - 30 victimes
Martinique - 19 victimes
Mayotte - 0 victimes
Guyane - 3 victimes
Val d'Oise - 125 victimes
Essonne - 130 victimes
Orne - 43 victimes
Eure et Loir - 54 victimes
Meuse - 16 victimes
Bas-Rhin - 90 victimes
Mayenne - 47 victimes
Loire Atlantique - 199 victimes
Vosges - 55 victimes
Haute Marne - 20 victimes
Aube - 39 victimes
Haute Saône - 40 victimes
Côte d'Or - 73 victimes
Corse du Sud - 14 victimes
Haute Corse - 18 victimes
Gard - 81 victimes
Haute Savoie - 84 victimes
Vaucluse - 77 victimes
Alpes de Haute Provence - 21 victime
Hautes Alpes - 35 victimes
Nièvre - 15 victimes
Loir et Cher - 57 victimes
Indre et Loire - 98 victimes
Indre - 20 victimes
Cher - 55 victimes
Allier - 34 victimes
Aude - 40 victimes
Puy de Dôme - 68 victimes
Deux Sèvres - 39 victimes
Haute Vienne - 44 victimes
Charente Maritime - 98 victimes
Corrèze - 32 victimes
Cantal - 10 victimes
Aveyron - 45 victimes
Hautes Pyrénées - 52 victimes
Gers - 27 victimes
Tarn - 58 victimes
Tarn et Garonne - 41 victimes
Dordogne - 50 victimes
Lot-et-Garonne - 35 victimes
Gironde - 242 victimes
Landes - 79 victimes
Aisne - 95 victimes
Ain - 61 victimes
Alpes Maritimes - 116 victimes
Ardèche - 43 victimes
Ardennes - 27 victimes
Ariège - 40 victimes
Bouches du Rhône - 180 victimes
Calvados - 124 victimes
Charente - 74 victimes
Côtes d'Armor - 89 victimes
Creuse - 11 victimes
Doubs - 71 victimes
Drôme - 42 victimes
Eure - 103 victimes
Finistère - 188 victimes
Haute Garonne - 171 victimes
Haute Loire - 21 victimes
Haut-Rhin - 89 victimes
Hauts de Seine - 118 victimes
Hérault - 141 victimes
Ille et Vilaine - 130 victimes
Isère - 195 victimes
Jura - 41 victimes
Loire - 125 victimes
Loiret - 47 victimes
Maine et Loire - 97 victimes
Manche - 135 victimes
Marne - 94 victimes
Meurthe et Moselle - 56 victimes
Nord - 288 victimes
Oise - 75 victimes
Rhône - 210 victimes
Saône et Loire - 82 victimes
Savoie - 86 victimes
Somme - 41 victimes
Vienne - 52 victimes
Yonne - 52 victimes
Pas de Calais - 173 victimes
Lot - 29 victimes
Loiret - 58
Lozère - 13 victimes
Morbihan - 154 victimes
Moselle - 154 victimes
Paris - 121 victimes
Pyrénées-Atlantiques - 110 victimes
Pyrénées Orientales - 156 victimes
Sarthe - 61 victimes
Seine et Marne - 175 victimes
Seine Maritime - 307 victimes
Territoire de Belfort - 14 victimes
Val de Marne - 125 victimes
Var - 89 victimes
Vendée - 122 victimes
Yvelines - 134 victimes
Oise - 75 victimes
Meurthe-et-Moselle - 56 Victimes
Yonne - 52 Victimes
Rhône - 210 Victimes
Guadeloupe - 19 victimes

Formulaire de recensement

Les informations portées sur ce formulaire font l’objet d’un traitement informatisé, et sont exclusivement destinées à élaborer la base de données de l’APESAC. Les informations recueillies sont couvertes par le secret statistique qui garantit la confidentialité absolue des données individuelles. Conformément à la loi « informatique et libertés » du 6 janvier 1978 modifiée, vous bénéficiez d’un droit d’accès et de rectification aux informations qui vous concernent. Vous pouvez nous faire part de tout changement de situation, par mail via notre formulaire de contact
Pourquoi déclarer à l’APESAC ?
L’APESAC est la seule association qui recense les familles dont les enfants ont été exposés aux anti-convulsivants ainsi que leurs frères et sœurs. Nous prenons également en considération la deuxième génération, les fausses couches et les interruptions de grossesse qui ont eu lieu pendant la prise du traitement. Ces informations sont importantes pour la recherche scientifique (dans ce cas, elles seront anonymisées) et nous permettront également de vous contacter.
Pourquoi déclarer à l’ANSM?
L’ANSM est l’autorité compétente en matière de pharmacovigilance. Il est indispensable de déclarer les effets des anticonvulsivants pris pendant la grossesse sur vos enfants pour faire évoluer le protocole national de diagnostic et de soins (PNDS), prendre en compte d’autres pathologies, développer la recherche, obtenir des études… Recenser ses enfants ou petits-enfants, c’est nous aider, faire avancer les choses et être reconnu auprès des autorités.
Concerné par l'impact trans-générationnel ?

L’APESAC recense les familles dont les enfants qui ont été exposés aux anti-convulsivants, ont eu à leur tour des enfants.

ARBRE G2
Afin d’obtenir des réponses, nous vous invitons à remplir ce formulaire. Vous pouvez également nous contacter.

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