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Une lanceuse d’alerte d’Occitanie croquée

L’Indépendant

Alors que Sanofi a été débouté mercredi de sa demande d’annulation du rapport d’expertise concernant la Depakine, la lanceuse d’alerte Marine Martin, qui vit en Occitanie, dans les Pyrénées-Orientales, est mise à l’honneur. La créatrice de l’APESAC, l’association de victimes de cet antiépileptique, figure parmi les lanceurs d’alerte croqués dans une BD (éd. Delcourt, 24,95 euros) . Signée Flore Talamon et Bruno Loth, la bande dessinée explique, exemples à l’appui, comment être un lanceur d’alerte efficace. En plus de Marine Martin, les auteurs croquent les parcours de Valérie Murat et Marie-Lys Bibeyran, lanceuses d’alerte sur les pesticides dans la vigne et le vin dans le Bordelais, Mauricio Garcia et L214 sur la maltraitance animale ou Raymond Avrillier sur la corruption dans les marchés publics de l’eau.

Source : Fédérique Michalack

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