Le Quotidien du Pharmacien
C’est une certitude pour l’APESAC, l’association de défense des victimes de la Dépakine (valproate). L’antiépileptique n’a pas seulement une lourde responsabilité sur les malformations et les troubles neurologiques d’un grand nombre d’enfants exposés in utero, mais aussi sur les enfants de ces enfants. L’APESAC réclame une étude.
Sur les réseaux sociaux, l’APESAC vient de lancer un nouveau dépliant intitulé « Dépakine – Dépakote – Dépamide = effets transgénérationnels …