Néo Santé
Un scandale sanitaire chasse l’autre : après l’a aire du Mediator, la Dépakine. Ce médicament, dont le principe actif est le valproate de sodium, a été prescrit à des femmes enceintes sans réel consentement éclairé. Or, depuis 1967, la littérature médicale n’a cessé d’étayer la liste des e ets secondaires e rayants de cette « molécule miracle » prescrite contre l’épilepsie ou certains troubles bipolaires. Aujourd’hui, des milliers de familles en payent le prix fort. Comme le Distilbène1 ou le thalidomide2, la Dépakine provoque notamment des malformations congénitales.