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La cour administrative d’appel de Paris a confirmé dans cinq arrêts que l’Etat est responsable en partie voire en totalité du défaut d’information donnée aux médecins et aux patientes sur les risques de l’exposition in utero au valproate et ses dérivés (dont Dépakine*, Sanofi), a-t-elle annoncé dans un communiqué diffusé mardi.