L’APESAC recense depuis plusieurs années l’impact transgénérationel du Valproate, Dépakine Dépakote, Dépamide, Micropakine. C’est à dire les malformations ou neuro-développementaux susceptibles d’avoir été transmis par les enfants » Depakine » qui a leur tour ont eu des enfants.
Nous interrogeons régulièrement les familles sur les enfants des enfants Dépakine, nous avons ainsi rassemblée de nombreuses données qui nous laisse penser que la Dépakine cause des dégâts sur la génération suivante.
Nous avons demandé au Ministère de la santé, de faire des études à partir des DATA de l’APESAC. Le 20 Janvier 2020 l’INSERM s’est enfin saisi du dossier et a constitué un programme de recherche sur le valproate et les autres antiépileptiques.
A cette occasion nous avons présenté le résultat des études faites par l’APESAC, Catherine Hill Directrice du Conseil Scientifique de l’APESAC a compulsé nos données que voici :