L’APESAC a publié au début de l’année 2022 dans le journal Birth Defects Research un article sur les problèmes de la seconde génération : enfants nés d’un parent exposé in utero. L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament demande à l’APESAC qu’elle transmette à la pharmacovigilance les informations dont elle dispose sur cette seconde génération.
Ces informations seront transmises par Madame Marine Martin, Présidente de l’APESAC aux Centres Régionaux de Pharmacovigilance de Montpellier et de Lille (Madame Thompson Bos et Madame Gautier) qui vont coordonner le recueil de ces informations. Si cela s’avérait nécessaire, vous pourriez être contacté par le Centre régional de pharmacovigilance de votre région pour obtenir des informations supplémentaires.
Seules les trois premières lettres de votre nom et la première lettre de votre prénom seront conservées, puis enregistrées dans la base nationale de pharmacovigilance avant leur transmission à la base de données européenne de pharmacovigilance ; c’est-à-dire que les données permettant de vous identifier directement sont ainsi portées uniquement à la connaissance des autorités sanitaires nationale et européenne et participent au système d’évaluation des données de sécurité des médicaments. Elles ne seront pas non plus transmises dans le cadre d’une demande d’indemnisation.
Pour cela nous avons besoin de votre autorisation :
