Logo apesac
Rechercher

Nathalie Orti

la tribune 

L’association a porté plainte contre X pour comprendre comment cet antiépileptique, accusé d’être à l’origine de malformations du foetus, a pu être prescrit chez des femmes enceintes malgré les

Le Parisien 

«Ensemble nous sommes plus forts». Tel est le slogan de l’Apesac, association regroupant des victimes de l’antiépileptique Dépakine, qui a annoncé ce mercredi avoir déposé une plainte avec constitution de partie civile,

Le Monde 

Cette plainte contre X vise ainsi à ce qu’« une information judiciaire soit ouverte et qu’un juge d’instruction soit nommé ».L’association de victimes de l’antiépileptique Dépakine a annoncé mercredi 21 septembre avoir déposé une plainte

Le Figaro 

 L’association Apesac a saisi le procureur et demande la nomination d’un juge.

 La justice française pourra-t-elle faire l’économie d’une information judiciaire à propos du scandale de la Dépakine? Ce médicament

La Montagne 

C’est grâce à un reportage télévisé que cette famille s’est rendu compte qu’elle n’était pas seule. Patricia a pris de la Dépakine® durant sa grossesse. Son fils, 20 ans aujourd’hui,

Top santé 

Les journalistes du Figaro ont sorti leur calculette : le scandale Dépakine pourrait coûter 6 milliards d’euros à l’État et/ou au laboratoire Sanofi. Un chiffre probablement sous-estimé.

 

La facture risque d’être

- -