Après des années de combat, Marine Martin a fait éclater la vérité sur la Dépakine, cet antiépileptique aux effets dévastateurs sur les enfants exposés in utero.
Face aux silences et aux lenteurs judiciaires, elle a refusé de baisser les bras, créant en 2011 l’@apesac, une association d’aide aux familles victimes du médicament. En 2017, Marine a réussi à imposer en France, l’ajout d’un pictogramme sur les médicaments à risque pour les femmes enceintes, un pas crucial pour la prévention.
Douze ans de lutte acharnée plus tard, la justice reconnaît enfin la responsabilité du laboratoire. Une victoire, mais surtout une avancée pour toutes celles et ceux qui se battent encore.
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