« Je compte sur l’Agence européenne du médicament (EMA) pour faire respecter la loi européenne », a lancé Marine Martin à l’adresse de l’institution lors d’une audition publique, le 26 septembre, sur le valproate de sodium, le principe de la Dépakine et ses dérivés, et ses effets tératogènes. La présidente de l’Association d’aide aux parents d’enfants atteints du syndrome de l’anti-convulsivant (Apesac), qui représente les victimes françaises, a mis l’accent devant les… la suite est réservé aux abonnés :
http://www.hospimedia.fr/actualite/breves/20170927-gestion-des-risques-les-victimes-de-la-depakine